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Comme les hommes, les peuples qui oublient leur histoire cessent d'exister!


Plan des pages consacrées au département de la Dordogne

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Genèse et organisation de la Résistance
Les forces en présence
Les terrains de parachutages
La chronologie de la répression et des combats
L'inventaire des maquis
Chronologie en décembre 1943
Chronologie des combats
et exactions:
Janvier 1944
Février 1944
mars 1944
avril 1944
mai 1944
juin 1944
Jusqu'au 14 Juillet 1944
Suite de la chronologie
de la répression et des combats:
15-31 juillet 1944
Août 1944
Les colonnes infernales SS:
La division Brehmer
Brehmer ou l'épouvante nazie:
combien de suppliciés?
La division "Das Reich"
Bilan des exactions
de la 2ème SS Panzer Division et du
1er passage du Kampfgruppe "Wilde"
Le retour en Dordogne
du Kampfgruppe "Wilde"
Les Kampfgruppe "Bode" et "Ottenbacher"
Quelques chiffres sur le bilan
de la résistance en Dordogne
Le casse de la banque
de France en gare
de Neuvic-sur-l'Isle

Résistance, Maquis et Libération du département de la Dordogne (suite de la page 4)

Mais le plus beau succès inscrit au palmarès des résistants et maquisards de la Dordogne, auxquels il faut d'ailleurs associer ceux de la Corrèze, reste d'avoir singulièrement entravé et limé les dents de la 2ème SS Panzer Division renforcée par la colonne Wilde. Que les va-nu-pieds du Périgord et de la Corrèze aient réussi en quelques jours, et avec des moyens de fortune, puisqu'ils ne disposaient ni de bazookas, ni de mortiers, mais seulement de quelques fusils anti-char MAS 36, de parvenir à réduire quasiment de moitié la puissance militaire d'une des divisions blindées SS fétiche du Reich faisant l'orgueil d'Hitler force l'admiration. Point n'est besoin de croire de bonne foi les Allemands qui ont invoqué le manque de pièces détachées, ce qui laisse à penser que les chars allemands étaient plutôt fragiles... Mais la faute principale en incombe au Commandement d'OB-West qui s'est plié aux ordres d'Adolph Hitler. Entre se livrer à des opérations de représailles contre les populations et se transporter le plus vite possible en Normandie, il fallait choisir!... Et la route était encore longue et périlleuse pour la division fétiche d'Hitler avant qu'elle atteigne son point de destination dans le département de la Manche.

Sur les 20.000 hommes que comptait théoriquement cette division blindée encasernée à Montauban, 30 % soit 6.000 sont restés à demeure parce que leurs équipements et matériels n'avaient pas été livrés, et sur les 14.000 qui ont pris la route du Lot et de la Corrèze, il n'y en pas eu la moitié qui ont pris le train pour Poitiers via Limoges la direction d'Angoulême étant manifestement impraticable (cf 1, p.304). C'est un lion aux dents sérieusement limées, qui a pris la route de la Normandie via Poitiers en gare de Périgueux.

En effet, les rames de transport ferré des bliondés étaient limitées à quelques 300 hommes et au grand maximum 350 hommes avec leur matériel et leur moyen de maintenance courante pour des raisons de sécurité contre les attaques aériennes. Les spécialistes du renseignement allié et des transports ferrés chiffraient à 300 le nombre d'hommes et leur encadrement transporté par les convois transportant des unités blindés. En additionnant les 15 rames parties de Périgueux à destination de Poitiers, on trouve 4.500 hommes a minima (300 hommes par rames) et en comptant 350 hommes par rames, 5.250 hommes partis de Périgueux par fer... sur les quelque 14.000 hommes de das Reich partis de Montauban.

La division "Das reich", quittant la Dordogne était devenu un lion penaud, qui sera engagé dans des combats sporadiques le 29 juin 1944, contre la 43ème DI britannique sur les rives de l'Odon, avant d'être envoyée batailler en défense sur le front américain dans la Manche, puis d'être placée en réserve pour n'entrer en combat avec les troupes américaines qu'à la bataille de Périers qui a suivi l'opération Cobra. avec la déconfiture que l'on connaît et dont on peut prendre connaissance dans les pages web de ce site consacrées à la libération du département de la Manche.

D'aucuns allègueront que le chiffre des vrais résistants et maquisards sont exagérés. Pour apprécier cette version de l'histoire il faut se replacer dans le contexte. Certes le ralliement des troupes de Vichy après le départ des Allemands était intéressé. Mais, compte tenu de l'importance des exactions nazies, l'auteur de cette page pense que la quasi totalité des engagements populaires étaient à la fois sincère et moralement essentielle pour effacer l'affront de l'Armistice, amplifié par l'envahissement de la zone dite libre le 11 novembre 1942, pour éponger les traces de sang, les cendres et les larmes encore chaudes qu'avaient provoqué les nazis, enfin pour retrouver dignement une place dans une société contrainte au chômage et à une crise du logement sans précédent dans l'histoire de la France.

Les F.F.I. étaient suffisamment dotés d'armes, d'instructeurs et d'officiers pour encadrer cette levée en masse dans un département dévasté par les hordes teutonnes. Certainement non! Il est donc certain que le chiffre des combattants entraînés était très inférieur. Mais en revanche, un bon nombre de ces candidats à la libération de la Dordogne vont s'engager dans le combat pour la Libération de la France et former la base et la relève de l'armée française renaissante. De la Bretagne au Jura et aux Alpes, on a vu le même phénomène se répéter dans tous les départements où les hordes nazies avaient particulièrement sévi. Le principal souci des responsables des maquis va donc être de pouvoir faire face à la vague des candidats au maquis qui se lèvent en masse après la vague d'épouvante et de terreur provoquées par les colonnes infernales SS. Comment y pourvoir? Or, au même moment, nombre de préfets de Vichy constatent que les pouvoirs dont ils sont théoriquement les détenteurs au nom de l'Etat Français deviennent inexistants, parce qu'ils sont placés entre les Nazis et les Résistants, c'est à dire entre l'Arbre et l'écorce.

La police ne leur obéit plus qu'en apparence, les services préfectoraux sont suspects aux yeux de la population, en particulier les services d'assistance aux réfugiés dont les fichiers pillés par la milice ont servi de base aux actions contre les juifs, le chômage sévit durement, et seuls les services du Trésor fonctionnent encore, alors que le Trésorier général du département, Latapie, est membre de la Résistance. En outre, les massacres de Tulle et d'Oradour-sur-Glane, qui ont fait le tour des gazettes du monde entier donnent une image du Reich et de ses SS et du Gouvernement de Vichy qui s'y est associé, partagée entre le dégout et la colère. Personne ne peut cautionner de tels actes. Et comme les Alliés tiennent la dragée haute à la Wehrmacht en Normandie, il y a lieu d'être prudent.

Bref, le préfet de Dordogne a décidé de prendre ses distances avec Vichy, pour trouver un premier accord provisoire avec Martial, en l'occurrence le lieutenant-colonel André Gaucher, confirmé chef départemental des FFI pour la Dordogne le 6 juin 1944. Le préfet de Vichy a donc décidé de prendre quelques mesures de dépannage des maquis. Il a donné discrètement l'ordre au Trésorier-payeur général de la Dordogne, Latapie, membre de la Résistance depuis longtemps, d’approvisionner en espèces au-delà de leurs besoins les perceptions des cantons occupés par les FFI, la marge ainsi dégagée étant mise à la disposition de Martial."(17)

Ces mesures permirent à la résistance de tenir quelques temps. Mais une autre solution beaucoup plus radicale va surgir toujours avec la quasi complicité du Préfet Callard au moment même ooù intervenaient les colonnes "Bode" et "Hottenbacher" en Dordogne.

Le casse de la banque de France en gare de Neuvic-sur-Isle (1, pp 342 et suiv.)

Le Préfet Callard pouvait bien être embarrassé. Il savait parfaitement que, tôt ou tard, on trouverait une étrange association entre les ordres qu'il avait donnés aux agences du trésor et les holdups de la Résistance réalisés de façon quasi coordonnée. Lorsque s'est présentée à lui une solution tout à fait logique et morale: il s'agit d'un transfert prélevé sur un dépôt de 10 milliards de Francs de la Banque de France dans ses coffres de la place Franklin-Roosevelt à Périgueux au profit de la Kriegsmarine, à Bordeaux. A cette époque où les bombardements dans les zones urbaines au nord de la Loire étaient courants, les coffres-forts de la province offraient une sécurité bien plus grande dans les villes de province jugées plus à l'abri des bombardements que dans les grandes villes portuaires et dans l'agglomération parisienne. Mais un Préfet, même nommé par Vichy, peut-il rester insensible au changement de situation politique, voir à une révolution, qui manifestement se prépare?

L'Allemagne avait déjà virtuellement perdu la guerre et la progression régulière de l'Armée rouge passée à l'offensive depuis le débarquement des Alliés l'atteste, de même que le martyre des populations sujettes aux représailles des nazis, qui signent un aveu d'impuissance. Alors le Préfet Callard joue la duplicité et laisse les informations atteindre la Résistance. Il est vrai que délivrer deux milliards deux cent quatre-vingts millions de Francs à l'Allemagne via la Kriegsmarine à Bordeaux au titre d'indemnités d'occupation alors que les troupes de l'Occupant sont en train de ravager le département dont il a la charge a quelque chose de particulièrement immorale. Comment un Pays peut-il de bonne foi rémunérer les troupes qui le ravagent, le pillent, l'incendient au nom de l'Armistice?

Alors, le Préfet Callard décide que sa main droite ignorera ce que fait sa main gauche. Selon «La vie du rail et des Transports», numéro 3 du juillet 2000, (17) «Le directeur de la Banque de France de Périgueux me soulignait les tracas que lui occasionnait la présence de ces milliards en papier, raconte Callard, et notamment sa crainte qu’il avait d’un coup de main des maquis sur ses caves. Je vis immédiatement là la possibilité de procurer des fonds à Gaucher et au préfet du maquis, Maxime Roux. J’abondais dans le sens du directeur de la Banque de France, et lui suggérais, à l’occasion de la prochaine demande de la Banque de France de Bordeaux, de sortir de ses caves un chiffre important de billets». A peine informé le 25 juillet 1944, du transport le lendemain par le rail, dans un wagon spécial, de 150 sacs de 40 kilos chacun bourrés de billets de la banque de France, chaque sac étant porteur en moyenne de 15.200.000 F, le Préfet Callard fait prévenir Martial, mais, rapporte «La vie du rail», sur ses ordres , «le wagon est escorté d’un groupe de policiers, dont seuls les plus sûrs — un commissaire principal et quatre inspecteurs des Renseignements généraux de Périgueux — sont mis dans la confidence» avec la consigne de ne pas se servir de leurs armes si le train est attaqué par un groupe FFI.

Il faut rappeler qu’à cette époque, les ratissages et la mise en coupe réglée du département par les kampfgruppe « Bode » et « Ottenbacher » battent leur plein et que les SS sont très occupés à semer l’épouvante dans le département de la Dordogne. Le préfet sait parfaitement que le chef de la Résistance des FFI, le lieutenant-colonel Gaucher ne pouvait pas laisser remettre une telle somme à l’ennemi qu’elle combattait avec tant d’opiniâtreté et si peu de moyens. C’est ainsi que la décision a été prise par le chef départemental des FFI, le lieutenant-colonel Gaucher (alias « Martial »), d'intercepter le wagon de la Banque de France en gare de Neuvic-sur-L'Isle, qui offrait plusieurs avantages décisifs.

D’abord, le chef de gare Lauth et plusieurs de ses employés sont favorables à la résistance, ce qui a permis de suivre minute par minute la progression de l’omnibus n°1709, qui a quitté le 26 juillet 1944 la gare de Périgueux à 18h25 en direction de Bordeaux. La complicité du personnel de la SNCF ne va pas seulement permettre de manœuvrer le wagon scellé dans lequel sont consignés les sacs convoités avec les policiers chargés de la garder, mais également à faire patienter les chefs de gare des stations suivantes de telles sorte qu’ils ne sonnent pas l’alarme…

En second lieu, la gare de Neuvic est éloignée du Bourg lui-même et de la RN 89 menant de Périgueux à Bordeaux, par laquelle les SS de Bode pourraient éventuellement intervenir. Ce qui permet de voir venir sans être vu, alors que toutes les autres routes conduisant à la gare sont sous le contrôle des maquis. En outre, il est possible de conduire à l’abri des regards le wagon dont le contenu est convoité derrière la colline du Puy-de-Pont en passant devant les voies sabotées de l’usine Bata qui travaille pour la Wehrmacht… Tout cela se présente sous les meilleurs auspices, et le 26 juillet à 19 heures, les maquisards prennent position, ainsi, selon Jacques Lagrange (1, p.345 et suiv.):
  1. Les unités « Valmy », « Ancel » et « Paul-Henri » sont chargées de couvrir l’opération à distance, c'est-à-dire d’interdire tout accès à la zone de la gare de Neuvic et au bourg.
  2. .
  3. Le groupe franc du bataillon « Roland » (ndlr : il s’agit d’un groupe de choc) est chargé des mesures rapprochées: mise à l’écart de voyageurs et leur contrôle, encadrement sous contrôle du travail de chacun des employés de la SNCF, contrôle des voyageurs de la rame voyageurs.
Sur cette carte tirée de la cartographie des Kampfgruppe "Bode" et "Ottenbacher" on voit que les ratissages
de ces colonnes infernales ne sont pas passés bien loindu Poste de Commandement et de la "Préfecture de
la Résistance" de Cendrieux.
Tout se passe comme prévu, et dès l’arrivée du convoi, les maîtres de l’opération bénéficient d’un coup de chance très heureux : d’une part, le wagon convoité est en tête du train, ce qui simplifie énormément sa manœuvre, sous le contrôle du maquisard Legrand qui a bondi dans la locomotive pour s’assurer de la bonne volonté du mécanicien et de son chauffeur et d’autre part, il n’a à bord qu’un seul policier armé, d’un pistolet automatique 6,35mm…

La locomotive et son wagon plombé rejoignent donc le quai des marchandises où l’attendent deux camions gazogène dans lequel les sacs plombés prennent place. Et moins d’un quart d’heure plus tard, la locomotive et son wagon délesté de son précieux chargement en numéraires sont raccrochés au convoi tandis que Christophe Raoul, alias « Krikri », officier de l’ORA et chef du 4ème bureau des FFI, après avoir signé une décharge au nom de la IVème République, prend la tête du convoi de deux camions de 3,5 tonnes chacun à bord desquels 6 hommes convoient les milliards de Neuvic en route pour la «préfecture de la résistance » hébergée dans les bois de Cendrieux.

Mais les choses ne se passent pas aussi aisément que prévu. Les cahots répétés des routes de traverse campagnardes utilisées par les maquisards font généralement mauvais ménage avec les gazogènes dont les foyers sont quelque peu désagrégés. Et sur la route de Manzac, le deuxième camion tombe en panne sous une pluie battante. Bref, il est indispensable de transférer le contenu du second camion dans le premier qui se trouve alors en surcharge de trois tonnes. Le camion et son chargement empruntent alors les chemins de traverse jugés plus sûrs, quant aux rencontres avec une patrouille allemande, mais hélas également beaucoup plus riches en bosses et nids de poules, qu’il faut passer avec une extrême précaution.

Bref, c’est seulement vers deux heures du matin que le précieux chargement arrive au Quartier général de l’état-major FFI à Cendrieux. 149 sacs sont réceptionnés au lieu de 150. Et le lendemain, le préfet Maxime Roux prend livraison du Trésor et le répartit chez plusieurs amis sûrs, cependant qu’au PC des FFI on ne conserve que huit cent soixante quinze millions pour faire face aux dépenses immédiates de la Résistance, qui sont importantes. (Pour la suite de la relation sur l’affaire de Neuvic, il convient de se reporter au livre de Jacques Lagrange, « 1944 en Dordogne » )(1).

Les polémiques sur l'emploi des fonds

L'avis de Guy Penaud sur les mystères des milliard de Neuvic
Coupure de presse rendant compte d'une conférence de Guy Penaud trouvée sur un blog.
On se doute que beaucoup de Monde, autant les résistants que l'Etat, se sont intéressés à l'utilisation des fonds du "Casse de Neuvic-sur-L'Isle". Difficile de l'éviter. Au-delà de la perte du cent-cinquantième sac représentant quelque 15.200.000 F, des zones d'ombre surgissent quant à l'emploi de certaines sommes. Dans une conférence tenue à Périgueux sur l'invitation de la Société historique et archéologique du Périgord, rapportée par un journal local, l'historien Guy Penaud admet qu'il n'a pas pu percer les mystères des milliards de Neuvic-sur-l'Isle.

Bref, le mystère qui entoure l'emploi d'une partie des milliards de Neuvic vient quelque peu obscurcir l'exploit des maquisards et résistants périgourdins. Mais Guy Penaud l'assure avec force: «Aucun des résistants ayant participé à cette opération n'a touché un centime du butin. J'en ai la certitude. Leur seule récompense ce soir là a été la satisfaction du devoir accompli, un quignon de pain et quelques sardines.» On pourra toujours se consoler avec l'adage du paysan périgourdin et d'ailleurs très prisé durant la deuxième guerre mondiale: «C'est toujours cela que les Prussiens n'ont pas eu!...»



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Notes sur les Sources:
  1. «1944 en Dordogne», de Jacques Lagrange, éditée par Pilote 24 Edition à Périgueux.
  2. "Dictionnaire de la Résistance en Dordogne" de Jacques Lagrange, éditée par Pilote 24 Edition à Périgueux.
  3. "Les résistants,l'histoire de ceux qui se refusèrent" de Robert Ballot aux Editions Larousse (p. 79)
  4. Terrasson et vous.
  5. Le massacre de Saint-Orse.
  6. Terrasson, dans le Périgord noir.
  7. Histoire de la ville de Terrasson.
  8. CHARLES LOUIS MANGOLD, alias "BROSSARD", alias "COMMANDANT VERNOIS"
  9. le cénotaphe du mur des fusillés à la caserne du 35ème.
  10. France d'abord, Dordogne (A.N.A.C.R.)
  11. Rachel Goldefer raconte et témoigne des crimes de Sainte-Marie-de-Chignac, répertoriés"7 AV 59" aux archives départementales.
  12. Le blog du site aschkel consacré à la Dordogne.(cliquer d'abord sur Documents, puis ensuite sur Caisse 7)
  13. L'autorisation d'intégrer les éléments relevés par le blog d'Aschkel dans l'inventaire des faits de résistance en Dordogne a été obtenue des responsables du site Aschkel. Ces évènements font en effet à l'évidence partie intégrante de l'Histoire de la France.
  14. "La guerre secrète, ou le rempart des mensonges, le jour J et la fin du IIIème Reich", par Anthony Cave Brown, (Editio Pygmalion, p. 300).
  15. Pour plus de détails, on peut consulter un ouvrage de Bernard Reviriego intitulé "Les Juifs en Dordogne. 1939-1944. De l'accueil à la persécution", édité en 2003 par les Editions Fanlac. les noms de de plus de 1700 juifs résidents ou réfugiés de Dordogne qui ont été déportés y sont indiqués.
  16. Rappelons pour mémoire que le massacre d’Oradour-sur-Glane (en Hte-Vienne) a eu lieu le 10-6-1944.
  17. 26 juillet 1944: le Hold-up des FFI, article paru dans "La vie du rail" du 3 juillet 2000.

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modifié le 5 juin 2010, révisée le 30 mars 2016.